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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 12:23

9dfyqpv7"Il arrive ca et là qu'on croise des gens qui s'aiment.

 

 On a pas besoin de leur parler, ni de les écouter. Il suffit juste de les regarder et on sait.

 La facon qu'ils ont de se toucher. Ou de se regarder. Un truc qui passe. Des yeux qui brillent et l'amour qui innondent leurs corps. Et on se dit alors : "Dieu qu'ils doivent être heureux..."

 Je me souviens d'une femme au camping municipal de la Tamarissière qui avait passé l'après-midi à regarder son mari et son fils dormir. Toutes les heures, elle changeait l'inclinaison du parasol, pour pas que les deux hommes de sa vie attrapent un coup de soleil. Un geste gratuit. Un geste d'amour.

 Je me souviens aussi d'un couple qui brillait de mille feux. Etait-ce un phénomene biologique ? une réaction chimique ? Les hormones ? Les neurotransmetteurs peut être ? Il suffisait de les regarder pour se dire que l'amour existait encore comme la chanson de Céline Dion.

 Souvenez-vous de Marina et Serguei, de la beauté qui se dégage de ce couple, ce mélange d'harmonie, de sensualité aussi, de feu et de glace. Avec ce petit truc en plus qu'ont les gens qui s'aiment. Ce supplément d'ame. La force de la seconde moitié sans doute.  

 Souvenez-vous de ce moment, tout est magique, la musique de Jean-Sebastien Bach, la danse,  elle, quand ses mains montent vers le ciel avec une grace infinie pour caresser les étoiles et lui quand il se jette dans ses bras pour une seconde d'éternité.



 Le public qui était pourtant à fond pour les Duschenais ce soir-la,  n'avait pas pu s'empêcher d'applaudir à tout rompre devant ce moment unique.

 De l'autre coté du téléviseur, ma mère versait une larme, mon père criait au génie tandis que je commandais déjà le DVD à la redoute avec ma carte American Express.

Je me souviens encore de la phrase de Roger Zabel au micro d'Antenne 2 : "Ils sont mari et femme dans la vie, si ils s'aiment autant dans la vie que sur la glace, Dieu qu'ils doivent être heureux..." 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 17:08

63645c78"Je dois beaucoup à La belle histoire.

 

 A Los Angeles, ou je suis allé présenter un de mes autres films dans le cadre d'une semaine du cinéma français, je m'adresse à une salle de deux milles personnes. Soudain, une femme se lève et m'interpelle :


- Monsieur Lelouch me dit-elle, je tenais à vous remercier d'avoir tourné la belle histoire. Sans ce film, je serais morte.
Je suis aussi stupéfait que le reste de l'assistance.

- Il y a un an, continue la jeune femme, j'étais au fond du trou et j'avais décidé de me suicider. J'ai loué une chambre d'hôtel, je me suis installé sur le lit avec des flacons de comprimés et une bouteille d'alcool. J'avais accroché l'écriteau "Ne pas déranger" sur la porte.

 Au moment d'avaler les comprimés, j'ai allumé la télévision pour faire du bruit afin que rien ne semble anormal et je suis tombée sur le tout début de la belle histoire. J'ai d'abord regardé machinalement. Puis prise par le film, je l'ai regardé jusqu'au bout. Ce film m'a dit tout ce que j'avais besoin qu'on me dise a cet instant précis.

 Il m'a insufflé tout l'espoir et toute l'envie de vivre que j'avais perdu. Quand il s'est terminé, j'ai jeté les comprimés et l'alcool. Elle se tait. Deux milles personnes ont envie de voir la belle histoire.

 Je regarde ma montre. J'ai encore un peu de temps devant moi. Je distingue dans la cohue de l'aéroport une jeune femme brune aux cheveux courts. Elle a un port de danseuse, une démarche aérienne, une nuque longue et souple qui met en valeur un visage d'une beauté exceptionnelle. Elle se dirige vers moi un sourire énigmatique sur ses lèvres sensuelles. Instinctivement, je rectifie la position.

- Excusez-moi, vous êtes bien Monsieur Claude Lelouch ?

 C'est avec une satisfaction a peine dissimulée que je lui reponds par l'affirmative. Son sourire s'accentue. Elle a des yeux sombres qui étincellent d'une féminité presque sauvage.

- Hier soir, dit-elle d'une voix claire et agréable, je suis allée au palais des congrès avec ma mère, voir La belle histoire... J'ai adoré votre film.

 En sortant, j'ai dit a ma mère que mon plus grand rêve serait de tourner avec vous. Alors, vous rencontrer le lendemain, comme ça, dans cet aéroport... C'est quelque chose qui a l'air de sortir d'un de vos films. Il fallait absolument que je vienne vous le dire.

- Vous avez bien fait. Vous êtes comédienne ?

- Comédienne, danseuse... et italienne.

- Ça vous dirait de faire des essais ?

Elle ne demande pas mieux. Elle griffonne un numéro de téléphone sur un rond de bière et me le tend.

- Vous allez-ou dis-je ?

- A Rome.

- Tiens ! Moi aussi.

 Ce n'est qu'au moment d'embarquer que je pense finalement a lui demander son prénom.

- Alessandra, dit-elle avec un nouveau sourire... Alessandra Martines."

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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
6 septembre 2008 6 06 /09 /septembre /2008 16:53

abuy1w60"Je joue avec trois photos posées comme des cartes sur mon bureau.

 

 Il me manque une comédienne pour un petit role dans Partir, revenir. Ces clichés représentent trois jeunes inconnues. L'une d'elle accroche mon regard. C'est elle. Au dos de la photo, il y a la fiche signalétique habituelle des aspirants comedients : nom, age, taille, couleur des yeux, numéro de téléphone.



"J'ai envie d'avoir des enfants avec elle"

 

 Je ne retiens que son nom : Marie-Sophie Berthier.

 Je la convoque, elle a la même blondeur, la même fraicheur que sur la photo. Des yeux clairs qui donnent l'impression de regarder les autres plus qu'elle-même. Un côté "jeune fille de bonne famille".

 Lorsqu'elle entre dans mon bureau, je ressens quelque chose d'étrange et d'agréable. Une sensation que j'ai du mal a analyser. J'ai l'impression de la reconnaitre. Pourtant je ne l'ai jamais vu de ma vie. De cette vie en tout cas. Nous échangeons quelques formules de politesse. Et puis, soudain, je m'entends lui dire, comme si c'était un autre que moi qui parlait :

- "Vous et moi, nous allons vivre une grande histoire."

 Qu'est-ce qui m'a pris ? Je ne le saurai jamais. C'était sans doute un de ces moments ou l'intelligence passe le contrôle à l'instinct. L'instinct qui agit parfois à notre place parce qu'il sait des choses que nous ignorons. Elle sourit sans répondre. Comme si elle savait déjà ce qui se passe entre nous deux, à cet instant précis de nos vies.

 Plus tard, elle joue a Lyon où elle tire brillamment son épingle du jeu. Après le spectacle, je la rejoins et nous allons diner. Au moment où il serait convenable de nous séparer, quelque chose nous en empêche. Nous ne nous quitterons plus. Je sais déjà que Marie-Sophie jouera dans ma vie un rôle important. J'ai envie d'avoir des enfants avec elle..."

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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 13:51

c3rgjqys"Ma soeur rayonne et éclaire son entourage.

 Elle capte tous les regards et elle le sait. Mon destin prend le train avec elleà Macon, lorsqu'elle saute dans la correspondance pour Paris. Elle s'installe dans le compartiment, elle ne remarque pas le beau jeune homme qui la dévisage ; Le jeune voyageur la presse de se confier, la guerre, la rafle de Cluny, la confiance s'instaure.

 A l'arrivée, elle lui donne son adresse. Il s'appelle Patrice. Ils se revoient. Patrice lui parle souvent d'un certain François : "C'est le chef de notre mouvement, un homme exceptionnel."

 Il voue une admiration sans borne à cet énigmatique François Morland. Curieuse, ma soeur lui demande : "Mais pourquoi ne le voyons-nous jamais? _ Je ne peux pas le dire, mais bientôt il sera là."

"Unie à celui que j'ai choisi pour le meilleur et pour le pire."

 Ce jour arrive, François Morléand revient d'Angleterre et réunit sans attendre certains membres de son réseau à une adresse sûre. La discussion s'achève, alors que ma soeur prépare quelques rafraîchissements, François fait le tour de la pièce; une photo attire son regard.

 Un portrait noir et blanc d'une jeune fille. "Qui est-ce ?" "Ma soeur cadette Danielle." Morland scrute le portrait un instant, se retourne vers ma soeur et lui lance comme un défi : "J'épouse... 
- Bon je vous la présenterai à Pâques si mes parents la laissent venir à Paris."

 Et nous voici attablées au restaurant boulevard Saint-Germain. Christine m'a placé face à la porte. "Si tu le trouves bien, tu me fais un clin d'oeil, sinon tu fais la moue dés qu'il entre d'accord ?" J'acquiesce. Enfin Patrice arrive, suivi bientôt par François. Un regard furtif sur le "fameux" François... Non, ce n'est pas le genre de garçon qui fait fondre le coeur d'une adolescente.

 La première impression est vraiment de la surprise : coiffé d'un chapeau mou, il porte un manteau style danseur mondain qui ne lui va pas du tout. Ni clin d'oeil, ni mou, plutôt une question : mais qui est-il ? 

 De plus en plus énigmatique, pendant tout le dîner, il est caustique, causant mon trouble à plaisir par des questions saugrenues. Il me taquine. Je bégaye, rouge de confusion. Il nous quitte bientôt pour préparer un déplacement.  Christine et moi regagnons à pied la rue campagne-Première.

 Bavardages et commentaires sur la soirée vont bon train. Je lui confie mes réticences. "Tu verras, en le connaissant mieux, tu découvriras la délicatesse de ses sentiments ; derrière les portes de l'esprit se cache un grand coeur, une immense générosité."

 Plus tard dans la nuit, nous parlons encore lorsque la sonnerie du téléphone nous surprend. Christine répond, c'est très bref, elle raccroche. "C'est François. Il arrive. Il n'a pas fait de commentaires..." L'inquiétude soudain me tenaille. Que se passe-t-il ?

 "La chambre où j'avais laissé les documents nécessaires à ma mission a été fouilléé, j'ai été prévenu que j'allais tomber dans un piège." A l'évidence il m'intrigue. Je le vois soucieux, non pas exclusivement pour lui mais aussi pour les autres. En quelques instants il analyse toutes les mesures nécessaires à la réorganisation de ses contacts. Je le trouve maître de lui. C'est un chef. Il m'impressionne.   

 De son côté, François Morland est sous le charme de "ses yeux de chat". Il veut la revoir.

 On retrouve Danielle : De nombreux journalistes ont souvent fait allusion à la rencontre avec "la photo". Les interprétations multiples, et quelquefois fantaisistes, m'ont incitée à vous en faire le récit.

 En écrivant j'ai conscience qu'un instant et un regard, une rencontre, une mission interrompue peuvent déterminer le parcours de toute une vie : qui peut savoir où, quand, en quelle circonstance ? Cinquante ans plus tard, je crois pouvoir affirmer : oui, c'est cette nuit-là.

 De retour à Cluny, j'avoue que François ne quitte pas mes pensées. Inconsciemment, je l'ai laissé entrer dans ma vie. Mais il est encore trop tôt pour le savoir.

 Arriverai-je à faire ressentir la force des liens que se créaient alors ? Comme si l'éphémère, l'insécurité du moment et la mort rendaient les rapports affectifs plus denses, plus forts. En tant de guerre tout se vit sur le mode de l'exceptionnel, parfois même de l'incroyable.

 Une histoire d'amour avec un inconnu n'échappe pas à cet enchaînement où l'invraisemblable se conjugue sans cesse avec l'imprévisible. Puis se fut la libération, Paris est à nous.

 Nous n'avons rien et tout est possible. Ainsi le 28 octobre fut le premier jour d'une vie de femme. 50 ans plus tard, je n'ai toujours pas encore épuisé la surprise d'être unie à celui que j'ai choisi pour le meilleur et pour le pire.

 Rideau.

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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 11:52
9b323b31"Un long dimanche de fiançailles"...

 Guerre 14/18, les soldats n'ont qu'un mot à la bouche dans les tranchées : "Attention au fil."

La voix off prend le relais : "Le fil du téléphone, c'est le seul lien avec le monde des vivants." 

Mais la direction de ce blog a décidé de frapper un grand coup cette semaine et vous dévoile en exclusivité le secret de l'amour :

L'amour ne tient qu'a un fil, si vous en doutez, place aux faits :

- Une femme se retrouve sous les verrous après avoir placé ses enfants dans un frigo, que dis-je, un congelo, son mari déclare ensuite qu'il lui tarde qu'elle sorte parce qu'il l'aime comme un fou. Il semblerait qu'elle n'ai pas franchi le fil rouge.

- Un homme retrouve sa première femme sur Internet 15 ans après un divorce mouvementé et voila qu'ils remettent le couvert sous pretexte que leur amour aurait survécu au fil des ans.

- Marius retrouve les lèvres de Fanny qui a entre temps épousé Panisse vu que Marius voulait naviguer au fil de l'eau. Mais César es formel, à une semaine près ils étaien foutu, ça s'est joué à un fil...

- Depuis 67 ans Gilbert et Ariane Dubosq s'aiment, une histoire cousue de fil blancjusqu'au jour ou Ariane se rend compte que la routine s'est installée dans leur couple. Ni une, ni deux, elle prend ses cliques et ses claques pour filer a l'anglaise avec son dentiste. Le fil d'ariane ?

- Pour Didier et Claudine, il n'y a pas de quiproquos, ils sont "amis pour la vie",  la preuve c'est que ça fait plus de 30 ans que ça dure. Et entre eux, pas une caresse, un geste déplacé, un petit doigt, rien, ils ne se sont même pas rouler un patin, que de l'affection jusqu'au jour ou ils s'unissent pour le meilleur et pour le pire. Comment cet amour a-t-il pu naitre ? De fil en aiguille ?

 On revient sur "Un long dimanche de fiancailles", extrait : "Quand Mathilde et Manech ont fait l'amour la première fois, il s'est endormi la main posé sur son sein. Chaque fois que sa blessure l'élance, Manech sent le coeur de Mathilde battre dans sa paume et chaque pulsation la rapproche de lui."
 
 Pas besoin de lire entre les lignes : la relation entre Mathilde et Manech est en filigramme, comme si elle était aimantée par un fil conducteur.

 On continue avec Mathilde : "Si Manech était mort, Mathilde le saurait. Depuis l'avis de décès elle se raccroche obstinément a son intuition comme a un fil tenu.
 
 Chaque fois qu'il se rompt, elle le renoue. Jamais elle ne se décourage et puis Mathilde est d'une heureuse nature, elle se dit que si le fil ne la ramène pas a son amant, tant pis, c'est pas grave, elle pourra toujours se pendre avec." La dernière phrase peut surprendre, pourtant nous sommes en plein dans le vif du sujet : Quand le fil est coupé, on file du mauvais cotton et on se retrouve sur le fil du rasoir.

 Parce que tant que le fil est intact, il n'y a pas d'alternative, on ne peut pas vivre l'un sans l'autre. Ça se sent. Mieux, ça se voit. Je me souviens d'une femme qui rayonnait, elle avait cet art de concentrer tous les rayons. J'ai tout de suite compris que le soleil ne brillait que pour elle et qu'il y avait un fil la-dessous. Je l'ai suivi en filature,dans l'ombre, elle s'est assise sur un banc.
 
 Robe noire, talons, une chaîne argentée autour du cou, les cheveux défaits et ce petit sourire en coin. Je me suis alors approché d'elle, l'air de rien, et alors qu'elle téléphonait, je lui ai alors glissé a l'oreille : "Qui est au bout du fil ?"

 C'est le secret de l'amour, pour le préserver, pas besoin d'être parfait ou de lire toutes les astuces de Cosmo ou autres Gala, il suffit juste de faire attention.

 De faire attention au fil...
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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 03:34

a2cccb04"On grandit avec.


Il est là, autour de nous. On le retrouve dans les chansons, les films aussi et les séries. Même les dessins animés. Partout !

Vous ne pouvez pas y échapper.

Et ils nous influencent.
 
 Si on fait un tour de table sur les acteurs de la rubrique amour de ce blog, les résultats sont édifiants : Pour certains, pas besoin de chercher midi a 14 heures, il n'y avait pas la tele, il suffisait d'inventer.
 
 Pour d'autres en revanche, ce n'est pas la même limonade, gageons que Dallas, Dynastie et Santa Barbara ont ete des inspirateurs. J'irai même jusqu'à dire des révélateurs.
Je me comprends.
          

 C'est comme ça, on ne peut rien y faire, on a tous été émue aux larmes par Hugo et Juliette dans la cité des Mimozas. Ou par Tom et Bekki, alors que ce salaup de Joe l'indien voulait leur faire la peau.
 
 Les larmes ont coulé a flot quand Bobbi a retrouve Pamela après son terrible accident de voiture. Sans parler de l'idylle entre Dylan et Brenda alors que les parents étaient manifestement contre. Ross et Rachel ensuite ont laissé des traces et des questions en suspends : "Peut-on se retrouver et s'aimer vraiment apres avoir ete tant de temps amis?"
 
 Bien sur, les puristes ont toujours eu une préférence pour le couple mythique Cruz Castillo et Eden Capwell. Mais leur amour était-il aussi sincère que celui qui unissait Caroline et Charles Ingals ?
La question mérite d'être posée.
 
 Mais quels seront les repères de nos enfants ? Quels exemples ? Ils vont faire comment ? Eux.
 
 Vous n'êtes pas sans savoir que Georges Bush a demande aux américains de prendre exemple sur Charles Ingals plutôt que sur Homere Simpson. Mais les enfants, ils regardent les Simpsons. Et les ados ? Que retiendront-ils de Desperate Housewives ?
 
Le côté négatif ?
 
 "Avez-vous déjà rencontré le couple parfait. Les deux âmes soeurs dont l'amour ne s'éteindra jamais ? Les deux amants dont la relation ne sera jamais menacée ? Le mari et l'épouse qui se font totalement confiance ? Si vous n'avez pas encore rencontré ce couple parfait, laissez-moi vous le présenter, il trône sur une couche de glaçage au sommet du gâteau de mariage. Le secret de leur succès ? Eh bien, pour commencer : ils n'ont pas à se regarder dans les yeux !"
 
Ou le côté positif ?

Musso encore : "Nous sommes tous à la recherche de cette personne unique qui nous apportera ce qui manque dans notre vie. Et si on ne parvient pas à la trouver on n'a plus qu'a prier pour que ce soit elle qui nous trouve..."
Rideau.
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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
8 février 2007 4 08 /02 /février /2007 04:23

bd16dfc2"C'est Yannick qui nous relate les faits, ils sont accablants :

 "On est en 1983, je viens de perdre contre Arias. En fait, je ne me suis toujours pas remis de ma victoire de Roland-Garros. J'ai tellement besoin de vrai amour ! Le téléphone sonne dans la chambre de mon hôtel. Voix de femme.


- Yannick, vous ne me connaissez pas, mais votre défaite m'a fait beaucoup de peine, vous devez être triste.
- Oui, je suis un peu triste en effet.
- Je voudrais vous rencontrer, puis-je monter ?
- Ecoutez, non, c'est très gentil, mais je n'ouvre pas ma porte comme ça. Excusez-moi.


Le téléphone sonne de nouveau. C'est le portier de l'hôtel.


- Monsieur Noah, j'ai entendu ce que la jeune femme qui vient de vous appeler vous a dit, j'ai compris à son attitude que vous l'aviez découragée, je pense que vous n'auriez pas agi ainsi si vous l'aviez vu, c'est d'ailleurs pourquoi, je me permets de vous appeler. C'est la plus belle fille que j'aie jamais vue de ma vie !
- ... ?


 Et bien sûr, je commence à fantasmer. Une belle inconnue, le hasard d'une rencontre, c'est déjà un coup de foudre. Qui est-elle, comment est-elle, d'où sort-elle, pourquoi moi ?... 


Le lendemain, le téléphone re-sonne.


- Bonjour, c'est Whitney.
- Ah, Whitney, bonsoir, comment vas-tu ? Je suis si content de t'avoir au téléphone. Accepterais-tu de venir diner avec des amis ce soir ?
- Non, je préfère les ambiances plus intimes... RDV à 22H dans le hall de l'hôtel.
- Comment je te reconnaitrai ?
- Ne t'inquiètes pas, tu ne pourras pas me rater...


Au restau, je suis hyperfébrile, à 22H je plante tout le monde et je rentre avec un quart d'heure de retard. J'attends. J'ai de plus en plus envie de la voir, de lui parler, de la connaître. L'histoire déjà me mène par le bout du nez.


Au bout d'une heure, n'y tenant plus, j'appelle au numéro qu'elle m'avait laissé et, rassuré, j'entends sa voix à l'autre bout du fil. Je suis heureux comme un naufragé qui rencontrerait une sirène après des semaines et des semaines de solitude.


- Mais qu'est-ce que tu fais, je t'attends !
- Moi aussi, je t'ai attendu et ce n'est pas dans mes habitudes. J'ai horreur de ça. Généralement c'est moi qui fait attendre les hommes pas l'inverse !
- Viens pardonne moi, rejoins-moi !
- Pas question, je ne peux pas, mon père...


 Et elle commence à me raconter sa vie de jeune fille riche, élevée sévèrement par un père capricieux, etc... Bref, s'il nous est matériellement impossible de nous rencontrer, nous commençons à établir au téléphone une relation tour à tour tendre et torride, très intime.

 Et je me mets à lui raconter tout de A à Z ! Toute ma vie, toutes mes espérances, toutes mes déceptions, Roland-Garros, la victoire, et puis le trou noir qui suivit, les raisons de mon exil à New-York, le milieu, l'argent...


 Petit à petit, je deviens complètement dépendant d'elle. Je suis en manque d'amour et elle est la seule personne au monde qui le comprenne. Une fois, mes potes étaient là, j'ai passé toute la nuit au téléphone ! Je regarde d'un air détaché les misérables petites vies de mes copains, je me sens au dessus de tout, je plane.

 Je suis amoureux d'une fille dont je n'ai jamais vu le visage mais dont la voix est devenue mon unique source d'énergie.

 Quelques bribes : "Je t'aime, c'est fabuleux d'avoir ces sentiments, on ne se connaît pas et on est tout l'un pour l'autre." Elle incarne l'amour parfait, insoumis aux lois de la beauté même si, bien sûr je l'imagine très belle. Sans cette voix je ne vis plus. Partout ou je passe je laisse jusqu'à 20 000 Frsde notes de téléphone. Je ne m'intéresse plus à rien ni à personne d'autre.


 Pendant la coupe Davis, les seuls moments où je peux parler à Whitney sont précisément pendant les entraînements. Je ne m'entraîne plus, complètement à côté de mes pompes, la boule dans le ventre. Tout le monde se fout de ma gueule.
- Mais cette fille, ça peut être n'importe qui, tu es barjo !


- Vous ne comprenez rien, vivez donc vos petites mesquineries et laissez-moi avec mon grand amour...


 Je ne pense plus qu'à organiser notre première rencontre, mais c'est bête, il y a toujours un contretemps, mais quand je commence à douter, Whitney se fait si douce que je m'en veux de m'être inquiété. Je suis si heureux d'avoir enfin trouvé l'âme soeur ! Après notre défaite en australie, je dois aller à Hong Kong, elle me fait changer de réservation, m'envoie au Peninsula Hotel.

 Quand j'entre dans la chambre, les fleurs ont envahi la pièce, sur le lit un mot : "Mon amour, pour toujours, à la vie, à la mort, Whitney". Je suis sur une autre planète, je ne sais pas ce qui m'arrive. partout, c'est la même délicatesse qui jalonne mes voyages. Mon avion se pose quelque part, une hôtesse m'attend sur la passerelle avec un mot : "Jamais plus sans toi mon amour Whitney."


Je lui envoie une blague en diamant et m'empresse de lui faire expédier une voiture française. Rien ne sera jamais trop beau sans elle. Je ne regarde plus une fille, je ne pense plus qu'à elle.Enfin, j'arrive au tournoi de Bâle ou je dois rencontrer Pecci. Et je croise Vitas Gerulaitis dont Whitney, ma Whitney m'a parlé. Elle l'aurait rencontré dans une soirée.


- Yan, tu n'as pas l'air très bien...
- Non, c'est vrai, il m'arrive un truc incroyable., je suis amoureux d'une fille que je n'ai jamais vue, et...
- Ah oui, Whitney ?
- Tu la connais ? Parle-moi d'elle.
- Joue d'abord ton match. Je t'en parlerai ce soir...
- Non, sois sympa, dis moi tout...
- Tout à l'heure.
Evidemment, 50 minutes plus tard, j'étais au bar, battu, rhabillé, prêt à entendre le pire...


Le pire ? C'est Vitas qui la raconte :


- Elle m'a harponné comme toi, j'ai marché un moment et puis je me suis méfié, j'ai engagé un détective privé qui l'a démasquée.

 C'est une femme d'au moins 250 kilos, standardiste dont tu n'es pas la première victime. Son numéro est bien rôdé, tous ses "amants" (acteurs américains dont certains sont allés jusqu'aux tribunaux, sans succès car les victimes étaient consentantes) lui envoient des cadeaux, de l'argent, sans avoir vu son visage...
Le coeur en vrille, je décide de composer une dernière fois le numéro de téléphone de la femme de ma vie.


- Allo, Whitney ?
Yan ! Comment vas-tu ?
- Pas super, tu vois, je sais qui tu es.
Elle s'est mise à hurler et j'ai raccroché. Est-ce que j'ai déjà eu aussi mal de ma vie ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Sans doute pas. Ce jour-là, j'ai vraiment cru que le monde était pourri.


 Peu de temps après ma peine s'est transformée en un véritable cauchemar, celui de voir fleurir sur l'étalage de la librairie du coin de la rue un best seller signé Whitney : Les dessous du circuit. Car dans ma quête d'absolu, je n'avais rien caché à Whitney. Le reste ?

Le reste n'est que littérature...  

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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
8 février 2007 4 08 /02 /février /2007 04:22

972f99b7"Rencontre.

 

 La scène se passe au Loufoque, un bar de La Rochelle, quand elle arrive, Jean-Baptiste est cloué, pour lui, ce fut comme une apparition, la suite se passe de commentaire : " Je vois un gars, en short et maillot de rugby, qui rentre. On discute et il me demande mon nom. "Anne-Laure."

"Anne-Laure comment ?"

Je réponds que je porte un nom breton et que s'il veut mon numéro de téléphone, il n'a qu'à se débrouiller.

Résultat des courses ? "Il a fait tous les Le Guen, Leguedec, Coëdic de l'annuaire et il m'a retrouvé."  

 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
6 février 2007 2 06 /02 /février /2007 03:53

dde3276d"Un été 84,

 

 Le 10 août 1984, la mairie de Neuilly est le théâtre d'un coup de foudre. Les mariés ? La demoiselle d'honneur et le témoin ? Des invités peut-être ? La secrétaire de mairie et le concierge ? Non, non, pas de ça ici, la mariée et le maire ! 

 L'histoire raconte que le maire aurait alors glissé au marié : "J'aimerai être à votre place...", de mauvaises langues rajoutent que c'est ce jour-là qu'il aurait jeté son dévolu sur elle.

 Des personnages abominables ont même dit : "L'amour rend aveugle, le mariage rend la vue", ce à quoi de vrais salopards auraient ajouté : "Quand on aime le jour du mariage, on aime pour la vie !".

 Quoi qu'il en soit, Nicolas et Cécilia se sont retrouvés au même lieu et à la même heure douze ans plus tard pour célébrer leur union. Depuis nos tourtereaux filent le parfait amour...

(article paru le 6/2/2007) 

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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour
4 février 2007 7 04 /02 /février /2007 19:58

559_001.jpg"A nous de vous faire préférer le train...

 

 Vous en voulez d'autres ? "SNCF tout est possible" "Donner au train des idées d'avance", "Partir à deux c'est encore mieux"...

Qui mieux que Martine et Christian pour donner du sens à ces slogans ?


 Bref retour en arrière, nous sommes au début des années 70, un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, flash-back :


 Les images qui resteront de ces années seront les premières à être en couleurs. Bardot sur la couverture des magazines porte des robes en vichy rose.

 On tourne encore en noir et blanc, Chabrol, Godard, la nouvelle vague, mais sur les écrans le technicolor Amérique déferle. Que reste-t-il d'ailleurs de cette époque ?

 De Gaulle qui s'essouffle et une génération qui cherche l'oublie ou a oublié... Celle qui monte danse sur d'étranges rythmes. Salut les copains, Castro, Hô chi Minh, Kennedy abattu, Mao modèle révolutionnaire, Krouchtchev...

 La sarabande s'est internationalisée.

 C'est le temps des décapotables tropéziennes et c'est parti pour la télé. La France pleure en regardant Janique Aimée et Love Story. L'empire colonial s'est effondré...Sartres s'introspecte dans les mots. Mais malgré Presley, Europe 1 et l'éclatement  de l'électroménager, on s'ennuie un peu... Pourtant on est déjà sur la lune.

 Beaucoup d'accidents de voitures sur les routes du monde libre, est-ce un mal, un bien ? C'est ainsi, du coup Martine et Christian préfèrent prendre un train... Les pions sont disposés, même s'ils ne s'en soucient pas pour l'instant, Martine et Christian font parti du jeu, ils ont leur place sur l'échiquier et ils vont se rencontrer...

 Juste un voyage, le temps de se connaître et de se reconnaître, le temps de savoir. Et à son arrivée, Christian sait. Il n'a que son prénom et son quartier mais, où qu'elle se trouve, il va retrouver cette jolie brune pour lui donner son amour.

 Il entreprend alors de faire du porte à porte dans tout le quartier pour mettre la main sur elle, l'histoire raconte que quand elle a ouvert la porte, son sang n'a fait qu'un tour et ils se sont enlacés pour ne plus jamais se quitter.

 A la lecture de ces quelques lignes, l'auteur de ce blog se refuse à passer sous silence la petite anecdote que raconta un jour Ronald Reegan devant un François Mitterrand médusé, on l'écoute religieusement :

 "Dans le Montana, un employé des chemins de fer tomba sur toutes les archives de la compagnie datant de l'avant guerre, il signala sa découverte à sa direction lui demandant s'il pouvait détruire tous ces documents qui n'avaient plus de valeur.

 Son supérieur hiérarchique acquiesça puis jugea finalement qu'il valait qu'en même mieux demander l'autorisation hiérarchique à son supérieur.

 De supérieur en supérieur, l'affaire arriva entre les mains du président des Etats-Unis d'Amérique qui à la question : "Faut-il détruire ces documents sans valeurs ?" répliqua : "Bien sur, mais n'oubliez pas avant de les détruire d'en faire... des photocopies !"


 La même mésaventure arriva en France sous le gouvernement Rocard, les photocopies en moins...


 On ne saura donc jamais quel était le compartiment, ni quelles étaient les places attribuées à Martine et Christian dans le train de leur vie...

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Published by Régis IGLESIAS - dans Amour

Livre d'or

Première affiche

 

  "MA MAMIE M'A DIT"  

Spectacle nostalgique 

 

"On nous avait promis la magie, promesse tenue : un spectacle plein de féérie de souvenirs où chacun se retrouvait. Une belle énergie. Les résidents ont adoré. Merci." Marie ("La Clairière de Luci" - Bordeaux)
 
"Formidable ! Nous sommes tous remontés dans le temps, nous avons vingt ans, on a ri, on a presque pleuré et surtout on a chanté. Merci." Cathy (Arles)
 
"Un véritable petit chef d'oeuvre" ; "La légion d'honneur pour la créativité" "Un véritable artiste" ; "Après-midi formidable" ; "Absolument parfait" ; "Une rétrospective originale" ; "Un très bon moment d'évasion". Propos recueillis à la résidence Emera d'Angoulême  
 
"Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux... C'était magnifique. Nous avons revu toute notre jeunesse et notre enfance. Et c'est beau de redevenir jeune dans l'ambiance d'autrefois." Aimée et Janine
 
"Les chansons, les réclames et les anecdotes ont transporté les résidents dans leur enfance. Une après-midi de nostalgie mais aussi de chansons et de rires. Merci encore pour ce magnifique spectacle." Sandrine
 
"Spectacle complet, tellement agréable et thérapeutique pour nos personnes âgées, encore félicitations !" Docteur Souque
 
"Un choix extraordinaire de chansons, des moments magiques, des photos magnifiques, vous nous avez mis de la joie dans le coeur. Et retrouver sa jeunesse avec tous ces souvenirs, ça fait plaisir et j'espère que vous reviendrez nous voir." Mme Lorenzi (Juan-Les-Pins)
 
"Pour ma fête, par un pur hasard je me suis retrouvé dans un club de personnes âgées où j'ai pu assister à votre spectacle sur le passé. Cela m'a rappelé mes grands-parents et mes parents et c'était vraiment un moment magique." Josette, La Roque d'Antheron
 
"Bravo bravo bravo Regis, c'est le meilleur spectacle que j'ai vu depuis que je fais le métier d'animatrice." Bénédicte La Salette-Montval (Marseille)
 
"Je n'imaginais pas lorsque je vous ai accordé un rendez-vous que vous enchanteriez pendant 1 h 1/4 les personnes âgées d'une telle façon. Merci pour votre prestation qui a fait revivre les moments publicitaires, évènementiels et musicaux de leurs vies." Michelle, CCAS de Toulouse
 
"Un super voyage dans le temps pour le plus grand plaisir des résidents. Merci à Régis pour cette magie et à bientôt." Brigitte (Lunel)
 
"Enfin un retour à notre "époque". Quel bonheur, que de souvenirs, quelle belle époque ou l'amitié était de mise. Merci pour cette très belle après-midi, on s'est régalé avec ce très très beau spectacle". Danielle (Mirandol)
 
"Super - divinement bien -  tout le monde était enchanté même que M. Benaben a dit : "Vous nous avez donné l'envie de revivre notre vie"." Sylvie (Sainte Barthe)
 
"Un grand merci pour ce bon moment et je crois, je suis sûre, qu'il a été partagé par mon mari." Mme Delbreil
 
"Une féérie de l'instant." Christian
 
"Beaucoup d'émotion dans ce spectacle plein de chaleur et d'humanité." Sylvie
 
"Une soirée inoubliable. Continuez à nous émerveiller et faites un long chemin." Claude
 
"Le meilleur spectacle que j'ai jamais vu. De loin." Tonton Kiko
 
"C'est bien simple, je n'ai plus de Rimmel !" Claudine (seconde femme de Tonton Kiko)
 
"A ma grande surprise, j'ai versé ma larme. Tu as atteint mon coeur. Bravo pour ces sentiments, ces émotions fortes, j'ai eu des frissons par moment." Ta couse Céline
 
"Redge, encore un bon moment passé en ta présence. On était venu plus pour toi que pour le spectacle, mais quelle agréable surprise ! On est fier de toi, continues d'oser, de vivre !" Pascale
 
"J'avais froid, un peu hagard, l'humeur moribonde et puis voilà, il y a toi avec toute ta générosité, l'intérêt, l'affection que tu as toujours su apporter aux autres, à moi aussi et Dieu sait si tu m'as rendu la vie belle depuis qu'on se connaît comme tu as su le faire une fois de plus." Jérôme
 
"Ce spectacle est nul à chier et je pèse mes mots." Gérard
 
memoria.viva@live.fr

Ma Mamie m'a dit...

Madka Regis 3-copie-1

 

COLLECTION "COMEDIE"

Mamie est sur Tweeter

Mamie n'a jamais été Zlatanée !

Mamie doit travailler plus pour gagner plus

Mamie, tu l'aimes ou tu la quittes

"Casse-toi pauvre Régis !"

Papi a été pris pour un Rom

Mamie est sur Facebook

Papi est sur Meetic

Il y a quelqu'un dans le ventre de Mamie

Mamie n'a pas la grippe A

La petite maison close dans la prairie

 

COLLECTION "THRILLER"

Landru a invité Mamie à la campagne...

Sacco et Vanzetti

Mamie a rendez-vous chez le docteur Petiot

La Gestapo française

Hiroshima

 

COLLECTION "SAGA"

Les Windsor

Mamie et les cigares du pharaon

Champollion, l'homme qui fit parler l'Egypte

Mamie à Tombouctou

 

COLLECTION "LES CHOSES DE MAMIE"

Mamie boit dans un verre Duralex

Le cadeau Bonux

Le bol de chocolat chaud

Super Cocotte

Mamie ne mange que des cachous Lajaunie

 

COLLECTION "COUP DE COEUR"

Mamie la gauloise

Mamie roule en DS

Mamie ne rate jamais un apéro

Mamie et le trésor de Rackham le Rouge

 

COLLECTION "DECOUVERTE"

Mamie va au bal

La fête de la Rosière

Mamie au music-hall

Mamie au Salon de l'auto

 

COLLECTION "SUR LA ROUTE DE MAMIE"

Quand Papi rencontre Mamie

Un Papi et une Mamie

Mamie fait de la résistance

Mamie au cimetière

24 heures dans la vie de Mamie

 

COLLECTION "MAMIE EXPLORE LE TEMPS"

Jaurès

Mamie embarque sur le Potemkine

Mamie et les poilus

Auschwitz

 

COLLECTION "FRISSONS"

Le regard de Guynemer

Mr et Mme Blériot

Lindbergh décroche la timbale

Nobile prend des risques

 

COLLECTION "MAMIE EN BALLADE"

Mamie chez les Bretons

Mamie voulait revoir sa Normandie !

La fouace Normande

La campagne, ça vous gagne...

Mamie à la salle des fêtes

Launaguet

La semaine bleue

Le monastère

 

COLLECTION "MAMIE AU TEMPS DES COURTISANES"

Lola Montès

Les lorettes

Mme M.

Napoléon III

Plonplon

La marquise de Païva

Mme de Pompadour

Générique de fin